On fut élevées dans le sentiment écrasant que le bonheur des filles passait obligatoirement par la case mariage et multiples marmots !!!
Aujourd'hui, les demoiselles naissent l'égalité à la bouche, un portable entre les dents...
Les codes et le vocabulaire ont changé, les contes de fée ont la vie dure ! On recherche toujours son Prince charmant et Internet ne facilite pas forcément la tâche. Bonne chance à toutes.
Quand vous l'aurez harponné ou si c'est déjà fait, informez-en Mme Torchon-à-la-main. Elle vous refilera volontiers les petits trucs qui lui ont permis de garder le sien.
Et surtout, ne vous découragez pas si vous devez vous y reprendre à plusieurs fois. Le bon finira par venir...
Succès et bonheur,
Votre conseillère dévouée,
Mme Torchon-à-la-main
La pensée du jour :
Le Prince charmant subit deux profondes mutations. La première : de vilain crapaud à Prince charmant. La seconde : de Prince charmant à celui qui brûle de vous mettre dans son lit. Aucune raison de vous sacrifier. Dites-lui oui en conséquence...
jeudi 25 février 2010
vendredi 19 février 2010
Miroir, mon beau miroir
Aujourd'hui, pour les femmes, dur, dur, de vieillir !!!
Vous prenez des rides, vous êtes virée.
Votre peau demeure lisse, vous êtes en sursis mais botoxée.
Votre poitrine s'affaisse, on vous interdit le décolleté.
Elle est haute comme l'Everest, vous êtes siliconée.
L'âge vous file quelques kilos, on vous offre un abonnement au fitness.
Vous avez le bonheur de rester mince, vous avalez des gélules amaigrissantes...
Moralité : on veut toutes rester jeunes et belles, mais on ne lutte pas toutes à armes égales. Question de budget. Grâce à mon astucieuse copine, Mme Torchon-à-la-main, cette injustice est désormais en passe d'être comblée.
En chasse, mes sœurs,
Et communiquez-moi vos autres astuces,
Votre Croquette toujours à l'affût
La pensée du jour :
Courir les broquantes pour dénicher le miroir de Blanche-Neige, plutôt que continuer à se ruiner en tubes et petits pots. Double investissement sur le long terme : on ne l'achète qu'une fois et il vous dira toujours que vous êtes la plus belle...
Votre Mme Torchon-à-la-main,
qui ne se baigne qu'au lait d'ânesse...
Vous prenez des rides, vous êtes virée.
Votre peau demeure lisse, vous êtes en sursis mais botoxée.
Votre poitrine s'affaisse, on vous interdit le décolleté.
Elle est haute comme l'Everest, vous êtes siliconée.
L'âge vous file quelques kilos, on vous offre un abonnement au fitness.
Vous avez le bonheur de rester mince, vous avalez des gélules amaigrissantes...
Moralité : on veut toutes rester jeunes et belles, mais on ne lutte pas toutes à armes égales. Question de budget. Grâce à mon astucieuse copine, Mme Torchon-à-la-main, cette injustice est désormais en passe d'être comblée.
En chasse, mes sœurs,
Et communiquez-moi vos autres astuces,
Votre Croquette toujours à l'affût
La pensée du jour :
Courir les broquantes pour dénicher le miroir de Blanche-Neige, plutôt que continuer à se ruiner en tubes et petits pots. Double investissement sur le long terme : on ne l'achète qu'une fois et il vous dira toujours que vous êtes la plus belle...
Votre Mme Torchon-à-la-main,
qui ne se baigne qu'au lait d'ânesse...
mardi 16 février 2010
A chacun sa Saint-Valentin
Nous, cette année, on s'est envoyé des fleurs via Facebook, pour nos aquariums Fishville !
C'est sympa, rigolo et ça coûte pas un radis !
Nous, les Saint-Valentin, depuis le temps, on a déjà donné, c'est peut-être pour ça qu'on continue à s'aimer, en dépit des années...
Et puis, j'aurais bien tort de lui en vouloir, les vraies fleurs, c'est moi qui n'en ai pas voulu. Entre le froid de la nuit et la chaleur d'enfer de la cheminée, elles ne s'y retrouveraient pas et faneraient bien trop vite. Autant les laisser là où elles sont.
Surtout que mon cadeau, je l'avais déjà reçu : mon Valentin avait repeint toutes les vieilles portes de la maison de la couleur que je voulais, même que la peinture, contrairement au bricolage, il déteste assez !
En échange, dimanche, je lui ai confectionné son gâteau préféré. Il a apprécié...
La pensée du jour :
Continuer d'affirmer haut et fort que la Saint-Valentin, c'est crétin et juste commercial, tout en espérant que son Valentin n'oublie pas, contrairement à l'an passé, la traditionnelle attention...
Et vous,
Comment avez-vous vécu votre Saint-Valentin ? J'attends avec impatience vos histoires, pour m'en inspirer, l'an prochain.
Je vous aime tous et toutes,
Peace and love,
Votre émue
Mme Torchon-à-la-main
C'est sympa, rigolo et ça coûte pas un radis !
Nous, les Saint-Valentin, depuis le temps, on a déjà donné, c'est peut-être pour ça qu'on continue à s'aimer, en dépit des années...
Et puis, j'aurais bien tort de lui en vouloir, les vraies fleurs, c'est moi qui n'en ai pas voulu. Entre le froid de la nuit et la chaleur d'enfer de la cheminée, elles ne s'y retrouveraient pas et faneraient bien trop vite. Autant les laisser là où elles sont.
Surtout que mon cadeau, je l'avais déjà reçu : mon Valentin avait repeint toutes les vieilles portes de la maison de la couleur que je voulais, même que la peinture, contrairement au bricolage, il déteste assez !
En échange, dimanche, je lui ai confectionné son gâteau préféré. Il a apprécié...
La pensée du jour :
Continuer d'affirmer haut et fort que la Saint-Valentin, c'est crétin et juste commercial, tout en espérant que son Valentin n'oublie pas, contrairement à l'an passé, la traditionnelle attention...
Et vous,
Comment avez-vous vécu votre Saint-Valentin ? J'attends avec impatience vos histoires, pour m'en inspirer, l'an prochain.
Je vous aime tous et toutes,
Peace and love,
Votre émue
Mme Torchon-à-la-main
mercredi 10 février 2010
Imprévisible libido
Trop de films où ça ne cesse de s'envoyer joyeusement en l'air ? Frustrant nos chers et tendres qui finissent par croire qu'ils n'ont pas choisi la bonne pouliche. Enthousiasme mitigé de notre côté ?
Mes sœurs, la solution est à portée de cerveau...
La pensée du jour :
Quand on a pas trop envie, paraît qu'y suffit de penser à son acteur fétiche. Le problème, c'est que Sean Connery, Roger Moore ou Delon, y font vraiment plus décatis que lui...
Votre désolée conseillère en sexologie,
Mme Torchon-à-la-main
Mes sœurs, la solution est à portée de cerveau...
La pensée du jour :
Quand on a pas trop envie, paraît qu'y suffit de penser à son acteur fétiche. Le problème, c'est que Sean Connery, Roger Moore ou Delon, y font vraiment plus décatis que lui...
Votre désolée conseillère en sexologie,
Mme Torchon-à-la-main
dimanche 7 février 2010
Dialogue avec Napoléon, suite
Guéris ?
Restez cool avec ce
Septième extrait :
A peine partis, les locataires de « Secret Story » lui manquaient déjà.
Se hâter de vérifier dans son magazine TV que Dechavanne leur succéderait. « Famille en or ou Roue de la fortune, » elle le préférait nettement à Ruquier. Selon elle, trop moqueur et polémiqueur.
Et puis, elle adorait Victoria !
Caisses de l’Etat vides, dépenses excédentaires, réchauffement de la planète, insécurité, logements insalubres, sans compter tout le reste, les défis étaient trop lourds pour que l’on évite de saper le moral de ceux qui allaient immanquablement payer la facture.
Le peuple était-il assez stupide, pour miser à chaque élection sur le mauvais cheval ! A moins qu’il ne faille se prendre une veste, pour obtenir la garantie d’être approuvé.
Face à un processus de contestation séculaire, sensé profiter à l’opposition et aux contestataires, et qui se moquait d’entraver toute réforme, Mlle Poirier, après mûres réflexions et moult émissions, constatait qu’elle n’y pouvait rien et décidait de cesser de s’indigner. D’abandonner la politique aux politicards. De laisser les loups, ou plutôt les éléphants, se dévorer entre eux.
Elle avait donné !
Heureusement qu’il lui restait l’actualité. Ouverture exaltante sur le monde, quoique aussi peu apte à donner confiance en la sagesse humaine et où le mode de destruction ne valait guère mieux. Mais difficile de se forcer à ne s’insurger de rien. Elle accorderait pourtant quelques brefs zappings à Ruquier.
A son corps défendant, force lui était d’admettre que les personnes qu’il recevait expédiaient parfois propos fort pertinents, vifs et instructifs.
Et ne craquait-elle pas pour Florence Foresti et les people ?
Tout en soliloquant, la vieille demoiselle avait retiré l’une des deux bouteilles stockées au réfrigérateur en prévision d’amateurs inopinés.
- Mon ami Christian préférera sûrement un petit blanc bien frais ! Je devrai me souvenir d’acheter du jus d’orange pour ma future rencontre avec Sarko.
Le générique bien connu, joint aux appels de Napoléon qui avait investi le fauteuil, repu et apaisé, la ramenait illico dans le living. Bras tendus pour maintenir l’équilibre de la précieuse bouteille. Elle avait toujours détesté manquer les présentations.
- M. Dechavanne, où est donc passé votre chien ? Je lui avais porté une réplique de mon chat pour jouer sur le plateau. A votre santé. Fameux, ce petit blanc, vous ne trouvez pas ? Et cesse donc, Napoléon, de tirer cette tête parce que je finis son verre ! Tu me rappelles ma mère. Je ne peux quand même pas tout bazarder à l’évier ou passer en grog…
Restez cool avec ce
Septième extrait :
A peine partis, les locataires de « Secret Story » lui manquaient déjà.
Se hâter de vérifier dans son magazine TV que Dechavanne leur succéderait. « Famille en or ou Roue de la fortune, » elle le préférait nettement à Ruquier. Selon elle, trop moqueur et polémiqueur.
Et puis, elle adorait Victoria !
Caisses de l’Etat vides, dépenses excédentaires, réchauffement de la planète, insécurité, logements insalubres, sans compter tout le reste, les défis étaient trop lourds pour que l’on évite de saper le moral de ceux qui allaient immanquablement payer la facture.
Le peuple était-il assez stupide, pour miser à chaque élection sur le mauvais cheval ! A moins qu’il ne faille se prendre une veste, pour obtenir la garantie d’être approuvé.
Face à un processus de contestation séculaire, sensé profiter à l’opposition et aux contestataires, et qui se moquait d’entraver toute réforme, Mlle Poirier, après mûres réflexions et moult émissions, constatait qu’elle n’y pouvait rien et décidait de cesser de s’indigner. D’abandonner la politique aux politicards. De laisser les loups, ou plutôt les éléphants, se dévorer entre eux.
Elle avait donné !
Heureusement qu’il lui restait l’actualité. Ouverture exaltante sur le monde, quoique aussi peu apte à donner confiance en la sagesse humaine et où le mode de destruction ne valait guère mieux. Mais difficile de se forcer à ne s’insurger de rien. Elle accorderait pourtant quelques brefs zappings à Ruquier.
A son corps défendant, force lui était d’admettre que les personnes qu’il recevait expédiaient parfois propos fort pertinents, vifs et instructifs.
Et ne craquait-elle pas pour Florence Foresti et les people ?
Tout en soliloquant, la vieille demoiselle avait retiré l’une des deux bouteilles stockées au réfrigérateur en prévision d’amateurs inopinés.
- Mon ami Christian préférera sûrement un petit blanc bien frais ! Je devrai me souvenir d’acheter du jus d’orange pour ma future rencontre avec Sarko.
Le générique bien connu, joint aux appels de Napoléon qui avait investi le fauteuil, repu et apaisé, la ramenait illico dans le living. Bras tendus pour maintenir l’équilibre de la précieuse bouteille. Elle avait toujours détesté manquer les présentations.
- M. Dechavanne, où est donc passé votre chien ? Je lui avais porté une réplique de mon chat pour jouer sur le plateau. A votre santé. Fameux, ce petit blanc, vous ne trouvez pas ? Et cesse donc, Napoléon, de tirer cette tête parce que je finis son verre ! Tu me rappelles ma mère. Je ne peux quand même pas tout bazarder à l’évier ou passer en grog…
lundi 1 février 2010
La ferme célébrités en Afrique
Ces chers people, qu'ils surfent sur le succès ou le has been, qu'on les aime ou les haïsse, qu'on les admire ou qu'on les trouve complètement à la masse, impossible de s'en passer !
Surtout si on crie haut et fort que ce genre d'émission, ce n'est pas notre tasse de thé puisque, c'est bien connu, c'est la première poule qui chante qui a fait l'œuf !
Faut dire aussi, à notre décharge, qu'ils sont partout. Mais alors, partout ! Bientôt, on nous en mettra jusque sur nos chaussettes ! A défaut de pouvoir les glisser dans notre lit.
Idée à creuser ?
Alors, quand il leur arrive une tuile, ça en devient carrément jubilatoire. Pourquoi on serait les seuls à être dans la mouïse ? Ces pourris gâtés, ils vont enfin apprendre à vivre...
Mais cette réflexion vengeresse, vaut mieux se la garder soigneusement pour soi et l'échanger contre une bonne vieille compassion, plus politiquement correcte !
La pensée du jour :
Pour rester crédible, évitez de citer les noms de tous les protagonistes de l'émission de télé réalité que vous prétendez ne pas regarder, puisque vous êtes largement en-dessus de toutes ces âneries.
Votre peopleophile,
Mme Torchon-à-la-main
Surtout si on crie haut et fort que ce genre d'émission, ce n'est pas notre tasse de thé puisque, c'est bien connu, c'est la première poule qui chante qui a fait l'œuf !
Faut dire aussi, à notre décharge, qu'ils sont partout. Mais alors, partout ! Bientôt, on nous en mettra jusque sur nos chaussettes ! A défaut de pouvoir les glisser dans notre lit.
Idée à creuser ?
Alors, quand il leur arrive une tuile, ça en devient carrément jubilatoire. Pourquoi on serait les seuls à être dans la mouïse ? Ces pourris gâtés, ils vont enfin apprendre à vivre...
Mais cette réflexion vengeresse, vaut mieux se la garder soigneusement pour soi et l'échanger contre une bonne vieille compassion, plus politiquement correcte !
La pensée du jour :
Pour rester crédible, évitez de citer les noms de tous les protagonistes de l'émission de télé réalité que vous prétendez ne pas regarder, puisque vous êtes largement en-dessus de toutes ces âneries.
Votre peopleophile,
Mme Torchon-à-la-main
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