Aujourd'hui, j'ai fait des cookies (macarons) aux noisettes.
Tentante odeur qui envahissait la maison, le temps de les sortir du four et de les mettre à refroidir, mon gourmand m'en avait déjà subtilisé quelques-uns, au risque de se brûler ! Détestable manie qui m'agace prodigieusement, il pourrait faire preuve de patience, même si je suis fière qu'il les apprécie autant. Après tout, c'est aussi pour lui que je m'y colle !
Chauds, les biscuits ne développent pas tout leur goût. Du pur gâchis, donc, pour un tel travail de patience, et de le chasser impitoyablement de ma cuisine ! Le cher homme ne voit pas du tout les choses du même œil. Affirmant qu'il me rend service en me débarrassant des moins beaux, des un peu cassés, s'assurant simultanément qu'ils sont suffisamment cuits...
Du coup, attendrie, c'est moi qui lui en apporte quelques-uns au salon, bien que j'aie envie de remplir ma boîte. C'est pas de l'amour, ça ? Mais ne dit-on pas qu'il passe par l'estomac ?
Votre attentionnée Mme Torchon-à-la-main,
Ministre autoproclamée de la débrouillardise productive,
Qui n'a pas encore pris sa calculette pour évaluer l'économie réalisée par rapport aux biscuits du commerce
La pensée du jour :
Si vous souhaitez avoir des cookies pour votre prochaine invitation, œuvrez en l'absence de votre gourmand ou faites ceux à la noix de coco qu'il déteste ! Vous avez honte ? Ajoutez une fournée de ses favoris, beurre oméga 3 et 6, pour lui éviter du cholestérol...
dimanche 16 septembre 2012
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