Procédure aboutie et réception chez le sous-préfet de Céret, nous voilà enfin citoyens du drapeau tricolore et fiers de l'être... Avec un 14 juillet qui revêtira une émotion particulière. Nous reste à finir de mémoriser les paroles de la "Marseillaise"et à ne pas les confondre avec celles de l'hymne helvétique, reconnaissance oblige !
D'ailleurs, n'est-ce pas équitable ? A comparer notre plantureux pique-nique, il y a deux étés déjà, (entrée, plat principal, dessert et vin rouge) au leur, frugal, (sandwichs et bouteille d'eau), un couple d'amis suisses de toujours avaient déclaré en rigolant qu'on était devenus de vrais Français.
Depuis, nous nous efforçons d'être dignes de l'honneur qui nous a été fait et suivons à la lettre les directives du gouvernement, tout en râlant juste ce qu'il faut pour être de parfaits compatriotes.
Entre autre, nous appliquons cette consigne du président Sarkozy :
TRAVAILLER PLUS POUR GAGNER PLUS
par l'ouverture d'une chambre d'hôte. Faisant d'une pierre deux coups, avec une connaissance plus approfondie de notre pays bien-aimé grâce aux conversations à bâtons rompus avec nos charmants hôtes. Qui dit mieux, comme intégration réussie ?
Pour nous féliciter, tapez 1
Pour nous dire peut mieux faire, tapez 2
Votre toute jeune Mme Torchon-à-la-main,
Qui espère être élue prochaine Marianne
La pensée du jour :
Les codes hiérarchiques sont inamovibles. Voilà que je me retrouve encore à nettoyer et à la préparation des petits déjeuners, alors que mon bricoleur de mari se garde les améliorations et réservations. Le pire étant que chacun y trouve son compte...
vendredi 9 juillet 2010
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ola la, en rattrapant mon retard de la lecture de ton blog,je nous suis sentis un peu visés... au sujet de la comparaison du pic-nic gargantuesque de votre part et notre maigre pitance de suisses méconnaissants les plaisirs de la table en pein air. Nous gardons un souvenir innoubliable de cette journée à Paulile. Nous esérons faire mieux la prochaine fois... en ajoutant au sandwich et eau minérale, un fruit en dessert...ha, ha, ha. En attendant ce jour fatidique je te fais, Huguette des grosses bises bien suisses, c'est-à-dire, humides et fraîches.
RépondreSupprimerfrancine
Je te demande humblement pardon, mais il faut bien alimenter l'imagination. Et puis, pour le miel de pissenlit, rien ne vaut une Lucernoise que je connais.
RépondreSupprimerPour nous aussi, cette journée à Paulille fut inoubliable, tout comme celle de cette année à Prats-de-Mollo.
Bises d'une Française de fraîche date qui aime toujours la fondue...