mardi 25 mai 2010

Amabilités conjugales

Tout homme a ses défauts. Qui n'en a pas ? A part nous qui sommes parfaites...
De ceux du mien, j'ai appris à m'accommoder. Certains parviennent même à me faire sourire ! Dont celui qui lui sert à ménager les cordons de sa bourse par cette élégante pirouette : autant payer le cinéma à sa sœur !!!

Tu m'achètes ce joli bijou ? Autant payer le cinéma à sa sœur !
Tu m'offres un week-end à Venise ? Autant payer le cinéma à sa sœur !
Tu m'emmènes au resto ? Autant payer le cinéma à sa sœur !
Etc. etc. etc...

Mais ne vous tracassez pas pour moi ! Demain, j'aurai quand même droit à deux ou trois nouveaux maillots de bain. Car, à moins de trouver une plage pour nudistes, dur, dur de se baigner à poil...

Votre heureuse Mme Torchon-à-la-main,
Qui a enfin replongé dans la grande bleue
On est frileuse ou on ne l'est pas !


La pensée du jour :

Pour un abonnement à vie au cinéma ou autres gracieusetés, bannissez les relations longue durée ou les messieurs qui afficheraient identique philosophie

samedi 22 mai 2010

Esclaves de cuisine

A notre dernière leçon de conversation anglaise, notre prof a sous-entendu que les Françaises étaient des "slaves kitchen " ou "in french " des esclaves de la cuisine !
Et chacune de s'écrier que non ! Que la cuisine était quasi un hobby. Que c'était une joie de mitonner de bons p'tits plats pour un mari qui raffolait du bien manger.
Mais ce soir, tout en coupant les légumes pour la soupe et en calculant que j'avais bien passé, pour cette seule journée, au moins deux heures derrière mon induction, je me suis dit que notre Britannique de professeur n'avait pas si tort que ça...
Le temps de mettre à cuire, je réfléchissais à la manière de passer tout en douceur aux us de la perfide Albion, côté fourneau en tout cas. Sandwichs à midi ou barquettes toutes prêtes à glisser au micro-ondes !

Votre cogitante Mme Torchon-à-la-main,
Qui en est restée au statu-quo, faute de solution satisfaisante



La pensée du jour :

Pour que votre chère et tendre ne se pose pas la même question, songez à lui offrir de temps en temps quelques fleurs, compliments bien tournés ou le resto. Mais surtout pas de cours de conversation anglaise, générateur de conflit













jeudi 20 mai 2010

Dialogue avec Napoléon, suite

Il suffit de demander ! Mais j'aurais préféré que ce soit l'an passé.
Trop de froid, trop de neige, trop de pluie et actuellement trop de tramontane engendrent de curieux résultats :
cerises en sous-nombre et pas encore mûres, salades trop petites, gigantisme des feuilles des roses trémières...

Ce n'est pas encore demain qu'on se mettra aux confitures ou à la plage ! Une excellente raison pour vous occuper avec ce nouvel extrait, qui vous dépeindra toute la méchanceté humaine...
Souriez et régalez-vous, ce n'est pas vous qui êtes visés.
Votre Croquette,
A qui cette tramontane continuelle commence à sérieusement taper sur le système.

seizième extrait :

Les réactions jubilatoires avaient dépassé ses pires prévisions.
- Z'avez vu "la Poirier ?" Comme zy elle était pas suffisamment moche !
Le sobriquet lui était resté. Son aversion des autres amplifiée. Aurait-elle songé qu'elle puisse regretter un jour "la Poirier ?" Mais c'était avant. Bien avant qu'elle ne devienne Moche. Moche Poirier !
- Abîme, ça prend un circonflexe, sombre crétin.
s'énervait-elle soudain, blessée par cette humiliante résurgence. Face à l'ignorance d'un candidat qui allait échouer et qu'encourageait Benji, bon prince.
- Te sauve pas, Napoléon. J'ai trop besoin de toi. Je ne hurle plus, ajoutait-elle doucement, avec une caresse pacificatrice à l'animal.
Avait-elle eu de la chance, dans son infortune !
D'expérience, elle n'osait envisager les conséquences, si son cher frère n'avait pas estropié Prune, Patience ou Reine...
- Des prunes sur un poirier, faut pas être gourde !
- Avec de la patience, tu finiras par la fermer, ta poire !
- T'es vraiment la reine, la reine des poires...
Cette dernière amertume se noyait sous les vivats des 8 rescapés du Mur. Mlle Poirier relevait la tête. Comme prévu, le candidat venait d’être battu !
Profil bas, il s’en retournait dans les coulisses. Accompagné par le regard cruel d’une caméra, filmant sans vergogne sa déconvenue.
Pourquoi ressasser un triste passé, alors que Benji lui souriait en annonçant la pub ?
Inamovibles chemise et costume noirs, voulait-il s’inspirer de Thierry Ardisson ? A moins que ce ne soit la couleur qui lui aille le mieux.
De toute façon, il ne lui ressemblait pas. Pas fat pour un rond et beaucoup plus gentil…

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mardi 18 mai 2010

Pour vivre en paix, cultivons notre jardin

Mes artichauts violets du Roussillon bio ! Aussi bons que beaux. Tellement délicieux, qu'on arrive même à manger le tronc et parfois les poux ! OUI OUI !

Un de ces jours, ma copine Croquette vous fera admirer ses salades ou ce qu'elle voudra d'autre !
Mais je vous vois venir, avec vos grands sabots, NON NON, on n'est pas en compétition pour déterminer laquelle a le meilleur mari jardinier. Parce ce que nous, copines, on l'est vraiment et depuis longtemps...

A propos d'amitié, y a de cela environ un mois, en faisant mes courses, je suis tombée sur une ancienne camarade d'école. Une des premières à se lancer dans le mariage, fière et résolue ! Depuis, il semblerait qu'elle ait déchanté. Lisez plutôt :
Au deuxième petit verre de Muscat, elle m'avouait que depuis qu'il était à la retraite, elle ne supportait plus le cher homme.Toujours dans ses pattes à mettre son grain de sel. A critiquer. A tourner en rond. A s'examiner sa petite santé... Télé et charentaises le soir.

Croyant bien faire, je lui ai alors conseillé de l'inscrire à un cours de bricolage. Surtout qu'ils avaient hérité d'une vieille baraque à rénover et qu'il sait à peine planter un clou. (Selon elle)
Hier, je l'ai recroisée dans le même centre commercial et elle a fait semblant de ne pas me reconnaître ! Il m'a fallut la coincer contre le rayon des produits équitables pour qu'elle crache le morceau.
Son mari n'avait pas aimé le bricolage, mais raffolé de l'émulation qui allait avec ! Il avait alors pris un abonnement pour un cours de fitness. Perdre sa brioche, plutôt que ses doigts...
Au final, il était tombé fou amoureux de sa prof, une blonde bicepsée passionnée de...vieilles maisons à retaper.
Et voilà qu'il venait de se tailler pour emménager en sa compagnie dans la baraque menaçant ruines qui du coup, et en prime, lui passait sous le nez. Le divorce étant sérieusement envisagé !

Là, j'ai totalement regretté de ne pas l'avoir laissée m'ignorer. Me suis esquivée, prétextant un rendez-vous, sur de plats regrets et des encouragements sincères à ne pas déprimer. Tout en souhaitant du fond du cœur ne plus la rencontrer jamais.

Votre Mme Torchon-à-la-main,
Qui n'arrive pas à s'en vouloir.
Est-on responsable des malheureux hasards de la vie ?


La pensée du jour :

Pour arrêter l'hémorragie ou plus simplement allonger votre liste de relations, ravalez vos conseils. Tendez une oreille attentive et compréhensive et souvenez-vous qui a payé le café la dernière fois
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samedi 15 mai 2010

Dialogue avec Napoléon, suite

Virée au marché, cueillette et dégustation de la troisième fraise du jardin, (que voulez-vous, avec ce temps encore frais mais qui semble peu à peu s'améliorer, y faut pas trop demander), concert lyrique à Port-Vendres, écriture, puis les Aventuriers des mondes perdus sur le petit écran, quelle journée !
Mais rassurez-vous, Mlle Poirier et Napoléon sont quand même au rendez-vous. Votre fidélité me touche et mérite récompense. Bonne lecture, que la difficile jeunesse de Mlle Poirier ne vous empêche pas de dormir.

P.S. Si vous voulez faire ami-ami avec Napoléon ou votre propre chat, grattez-le sous le ventre ou entre les oreilles. Et essayez la télé.

Votre Croquette,
Qui profitera du dimanche pour se reposer. A moins que...



quinzième extrait :

Etait-ce de cette période que datait sa colère d’autrui ? Ou de plus tard ? Juste avant son adolescence. Lorsqu’elle était définitivement devenue « Poirier clair. » Puis, plus simplement, « la Poirier ! »
Elle se souvenait par contre très précisément quand et comment cette colère, qui l’avait presque conduite à l’autisme, s’était transformée en haine. Ce matin maudit où elle avait été contrainte de se présenter au collège, affublée de lunettes dont les verres, épais comme des hublots, lui donnaient un regard qu’elle n’aurait pas souhaité à son pire ennemi.
Lorsqu’elle s’était observée dans le miroir, larmes aux yeux, avant de partir affronter la rue puis ses camarades, elle avait immédiatement compris pourquoi elle n’avait jamais voulu porter de telles horreurs…
Mais ne venait-elle pas d’échouer au contrôle annuel de la vue ? Après avoir appris par cœur, année après année, la direction dans laquelle s’élançaient les bras vicieux du E abhorré. Jusqu’à cette fatale dernière fois, où elle était passée la première.
Pour ne plus lire au tableau noir après le deuxième rang et être porteuse d’une sévère hérédité, elle se savait myope. Et en sursis, grâce à divers stratagèmes, dont le précédent. Tout, plutôt qu’être condamnée aux besicles !
La pilule avait été d’autant plus difficile à avaler que depuis quelques semaines, un appareil dentaire lui martyrisait la bouche. Promesse d’une beauté en devenir qu’il lui fallait payer, dans l’immédiat, d’une difformité momentanée mais certaine. Et qui l’avait réduite, cerise sur le gâteau, à l’état d’idiote zézayante. Une Lisa avant l’heure !

jeudi 13 mai 2010

Dialogue avec Napoléon, suite

Coucou me revoilà ! Mouillée mais pas noyée...
Ce que l'on perd en parapluie, on le gagne en crème solaire.
Me revoilà pour la suite. La suite d'une histoire que vous avez refusé de me réclamer, bien que je vous l'aie demandé. Bien trop gentille, je suis ! Mais que voulez-vous, on ne se refait pas.
Amusez-vous bien et veillez sur Napoléon.

Votre Croquette, qui ne ne vous oublie pas


Chapitre 2

Votre nom, s’il vous plaît !


- Mon nom est Poirier. Claire Poirier ! Que voulez-vous, on ne choisit pas. Et tout le monde ne peut pas s’appeler James Bond ou Benjamin Castaldi !
Surtout si l’on est née fille. De parents désireux que leur rejeton de trois ans soit capable d’énoncer correctement le prénom de sa petite sœur à ceux qui le lui demanderaient…
Tout en répondant ou en séchant sur les questions de « 1 contre 100, » Mlle Poirier méditait sur cette autre injustice. Peu à peu prise par l’ambiance bruyante et gentiment fofolle qui se dégageait du Mur.
Pour elle, contre le blues, rien ne concurrençait la foule. Pas même le verre de whisky, d’autre chose ou d’eau, qu’elle s’apprêtait à proposer à Benji. Puis à partager avec lui, s’il l’acceptait.
Tous ces cris lui montaient à la tête. Son modeste salon, bourré à craquer de farfelus, la grisait. Napoléon se trompait. Elle n’était pas dépressive. Elle surmonterait la perte des triplées.
De James, il était facile de faire un lord anglais. Même si ces prénoms étaient aussi portés par des valets de chambre ! Et de Benjamin, Benji.
Davantage moderne et représentatif. Surtout pour un animateur télé à succès, attirant et athlétique. Qui n’hésitait pas à le prouver en dégrafant ou en tombant carrément la chemise avec une fausse pudeur, lorsque l’occasion s’en présentait…
De Claire, par ailleurs peu exaltant, on pouvait à la rigueur s’arranger.
A la condition expresse d’éviter d’y joindre Poirier ! Elle l’avait appris à ses dépens. Très tôt. Dès la maternelle.
- Comment t’appelles-tu ?
- Claire
- Claire comment ?
- Claire Poirier
Les premiers rires avaient fusé. Elle ne les oublierait pas. L’aurait-elle voulu ? Chaque rentrée scolaire se serait chargée de les lui rappeler…

J'épile, j'épile pas ?

En hiver, je renonce à m'épiler les aisselles. Parce que ça me tient chaud, que ça me fait comme une fourrure. Comme un confortable Teddy Bear.
L'ennui, c'est que mon homme, il déteste ! Il trouve ça affreux. Pas sexy pour un rond et terriblement négligé pour une Mme Torchon-à-la-main. Mais moi, je résiste. C'est que t'y tiens, à mes visons...
Mais là, j'hésite à céder. Cela ferait peut-être revenir le beau temps.

Et vous, comment managez-vous le problème ? Savez-vous s'il existe des faux poils à coller ?

Bien affectueusement,
Votre bientôt toute lisse Mme Torchon-à-la-main


La pensée du jour :

Convaincre l'organisatrice du casting des ménagères de plus de cinquante ans concernant la pub du déodorant Nivea d'attendre un peu. Je tiens à participer !

mardi 11 mai 2010

Vous avez dit crise ?

On croyait que la crise était derrière. Qu'ils avaient réussi à sauver nos p'tits sous. Merci à eux !
Et voilà qu'avec la Grèce endettée jusqu'au sommet de l'Acropole, et les risques de contagion aux autres membres de l'Union, que tout est remis en question.
Et voici qu'on retremble pour notre maigre magot. Qu'on refrémit. Qu'on se réinterroge et qu'on se réindigne : milliards volatilisés ici ! Empruntés par là ! Indirectement prêtés par nous, pauvres pommes !
Alors qu'on en est toujours à racler nos fonds de tiroir, on a jamais tant entendu parler de pognon. Dont on ne verra jamais la couleur. Vous avez dit injuste ? Pourtant, personne n'a jamais prétendu que l'égalité était de ce monde ! Alors, de quoi vous plaignez-vous ?
N'empêche, si on gérait notre argent de cette façon, nous, au gnouf, ça ferait longtemps qu'on y serait...
Mais vous connaissez maintenant votre Mme Torchon-à-la-main. Toujours prête à tirer une solution de son seau à récurer. Que dites-vous de celle d'aujourd'hui ?
Obliger tout ce beau monde, pour lui remettre la tête en place, à faire comme nous. C'est à dire à apprendre à ne pas dépenser plus qu'il n'a !

Votre ci-devant Mme Torchon-à-la-main,
Votre dévouée vérifieuse de compte et éventuelle future ministre de l'économie

La pensée du jour :

Engager une personne compétente pour nettoyer ces écuries d'Augias. L'ennui, c'est que mon torchon, je refuse de le prêter. Et comme ils ne penseront pas à m'employer, désolée, il vous faudra trouver quelqu'un d'autre

jeudi 6 mai 2010

Beauté. quand tu nous tiens

Hier soir, il m'a dit que j'étais belle. Aussi belle que lorsque il m'a rencontrée, il y a de cela.....
Ce compliment ne résistera peut-être pas au lever du soleil, mais qu'est-ce qu'il m'a fait plaisir !


La pensée du jour :

L'important n'est pas d'être une Adriana Karembeu ou une Pénélope Cruz, mais de résister à l'usure de la cohabitation, bien plus pernicieuse que celle du temps


Au boulot les filles,
Il n'y a pas que le collagène ou le botox !
J'attends vos astuces.

Votre reboostée Mme Torchon-à-la-main,
Qui a cessé d'en vouloir à son miroir






mercredi 5 mai 2010

Station météo ou soie

On peut pas dire que mon homme soit particulièrement dépensier. Pourtant, il ne peut s'empêcher de foncer, à chaque fois, au rayon de ce qui facilite la vie de tout bricoleur ou jardinier émérite afin de trouver la perle rare manquant encore à sa panoplie : machine à découper les carreaux, à broyer les déchets végétaux, à scier, à poncer, à débiter... Sans oublier l'aiguiseur de lames dernière génération, la mini visseuse, l'appareil à donner la température extérieure et intérieure, le pluviomètre, le catalyseur de je ne sais quoi ou tout futur indispensable gadget.
Mais que l'on traverse l'endroit réservé aux colifichets et autres futilités féminines, voyez-le foncer, tête baissée, comme s'il avait le diable à ses trousses.
Vous avez dit égalité ?

La pensée du jour :

Si vous craquez pour les dessous Princesse Tam-Tam ou Simone Pérèle, fuyez ce genre d'individu ! Sa station météo passera toujours avant vos désirs de dentelles, puisqu'il persiste à vous trouver plus belle nue !


Votre indulgente Mme Torchon-à-la-main,
qui continuera à ne porter que du coton et qui s'en trouve bien.
A très bientôt, pour un prochain défilé...




lundi 3 mai 2010

Poursuite du grand chambardement

Aujourd'hui, il pleut et il fait froid. Comme hier et comme demain et après-demain...
Après la plage, la polaire !
Il pleut, à rester sous la couette jusqu'à ce que ça cesse ! A nous donner des pieds palmés, à faire vomir les escargots et gémir les grenouilles !
Et savoir que ça fait du bien à la nature, que le vert a remplacé le jaune paille, que les feuilles poussent à la vitesse grand V, que les barrages se remplissent, que les fleurs respirent et que les salades de notre potager, si ça continue, seront bientôt toutes croquantes dans notre assiette, ne me console pas.
Pourquoi je l'ai pas fait, la semaine passée, ce plongeon dans la grande bleue ?
Si ça continue, je vais aller frapper à la porte du grand Météorologue et le prier de faire un effort.
Et tant pis si tous ceux qui vivent de la terre m'en veulent car, comme on dit : trop et trop peu gâtent tous les jeux !!!
A propos de proverbes pourris, vous voulez que je vous en invente un, bien défaitiste ? Du style :
Printemps pluvieux, été calamiteux
Ou carrément optimiste :
Printemps râpé, été barbecue

Pour le défaitiste, tapez 1 !
Pour l'optimiste, tapez 2 !
Une semaine de soleil est à gagner...

Votre climatologue et déboussolée
Mme Torchon-à-la-main,
qui refuse de regarde pousser ses salades


La pensée du jour :

Mieux vaut choisir la couleur des yeux de son futur bébé que celle du temps. On n'est que deux à s'engueuler et les conséquences sur le climat, inexistantes

samedi 1 mai 2010

Problème d'intendance

Y'a plus de lardons dans le frigo. Y manqueront dans la soupe. Bien fait pour lui ! Y n'avait qu'à pas les manger derrière mon dos, en s'imaginant que je n'entendais pas le caractéristique bruit de la barquette ouverte subrepticement.
Tous des goinfres, je vous dis...

Votre navrée Mme Torchon-à-la-main,
Qui ne sait plus quoi concocter pour ce soir


La pensée du jour :

C'est quand votre aliment favori est absent du frichti, que vous réalisez que vous auriez dû le bouder pour le retrouver dans votre assiette. Apprenez donc à brider vos envies...