On croyait que la crise était derrière. Qu'ils avaient réussi à sauver nos p'tits sous. Merci à eux !
Et voilà qu'avec la Grèce endettée jusqu'au sommet de l'Acropole, et les risques de contagion aux autres membres de l'Union, que tout est remis en question.
Et voici qu'on retremble pour notre maigre magot. Qu'on refrémit. Qu'on se réinterroge et qu'on se réindigne : milliards volatilisés ici ! Empruntés par là ! Indirectement prêtés par nous, pauvres pommes !
Alors qu'on en est toujours à racler nos fonds de tiroir, on a jamais tant entendu parler de pognon. Dont on ne verra jamais la couleur. Vous avez dit injuste ? Pourtant, personne n'a jamais prétendu que l'égalité était de ce monde ! Alors, de quoi vous plaignez-vous ?
N'empêche, si on gérait notre argent de cette façon, nous, au gnouf, ça ferait longtemps qu'on y serait...
Mais vous connaissez maintenant votre Mme Torchon-à-la-main. Toujours prête à tirer une solution de son seau à récurer. Que dites-vous de celle d'aujourd'hui ?
Obliger tout ce beau monde, pour lui remettre la tête en place, à faire comme nous. C'est à dire à apprendre à ne pas dépenser plus qu'il n'a !
Votre ci-devant Mme Torchon-à-la-main,
Votre dévouée vérifieuse de compte et éventuelle future ministre de l'économie
La pensée du jour :
Engager une personne compétente pour nettoyer ces écuries d'Augias. L'ennui, c'est que mon torchon, je refuse de le prêter. Et comme ils ne penseront pas à m'employer, désolée, il vous faudra trouver quelqu'un d'autre
mardi 11 mai 2010
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