Encore une petite fatigue ?
Pensez à la gelée royale ou à un nouveau traitement de Dialogue avec Napoléon
A consommer sans modération...
6ième extrait :
De confessions en dénonciations débitées avec une franchise et une honnêteté calculées, les héros de la téléréalité, chouchous de Mlle Poirier, en acteurs consommés, avaient maintenu le suspense et rempli leur contrat à satisfaction.
Ils venaient de se débiner, finauds, sur un grand au revoir joyeux. Réservant la suite pour demain. Immédiatement remplacés par l’obligatoire séquence de spots publicitaires.
- Et voilà Cacahouète ! Vise un peu, il va se vautrer sur sa couette.
Le plus heureux et le plus feignant des chats, après toi. Vous faites deux sacrées carpettes ! C’est pas toi qui serais suffisamment malin ou photogénique pour passer à la télé !
Mlle Poirier lui avait-elle, dans son ironie, flatté le poil trop abruptement ou l’animal estimait-il qu’il avait reçu son content de vannes pour la soirée ? Il s’étirait, se redressait. Pattes et menton tendus sur son désir de fuite. D’une main qui l’obligeait à plier l’échine, l’inflexible demoiselle le maintenait sur ses genoux.
- Sois pas jaloux, mon Napoléon. C’était pour rire. Après tout, je ne suis pas non plus une star. Encore moins un canon.
Je peux par contre nous procurer la même couette, afin que tu te prennes pour Cacahouète ! Et je te prie de ronronner, pour me manifester ta satisfaction d’être tombé sur une aussi parfaite maîtresse.
Devant l’entêtement du rabaissé, qui cherchait toujours à s’échapper pour aller se défouler sur ses croquettes, Mlle Poirier abandonnait la partie. Se levait, pour se diriger mélancoliquement vers sa cuisine où elle débarrassait le plateau et versait le solde des verres dans une bonbonne, qu’elle fermait hermétiquement d’un bouchon de liège.
Vide, c’était pas Dieu possible ce que plateau était horrible ! Et solide, avec ça ! Radicalement exclu de le cantonner plus tard au fin fond d’un placard, tout en regrettant, spasmes dans la voix, ses défaillances auprès de la généreuses infirmière….
samedi 30 janvier 2010
mardi 26 janvier 2010
Gestion d'autorité, 2ème volet
Sur qui commande à la maison, on est toujours d'accord ! Lui, parce qu'il prétend qu'il n'y en a qu'un et que ce n'est pas lui... Moi, parce que ça m'est égal qu'il mente effrontément !
Je n'aurais pas voulu d'un paillasson. Je ne me suis pas mariée pour continuer à prendre seule toutes les décisions.
La pensée du jour :
Je me moque de savoir que ce n'est pas moi qui porte la culotte. En règle générale, c'est plutôt reposant. Surtout que quand je dis non, c'est vraiment non, et qu'il n'y a pas à y revenir !
Votre dévouée suffragette,
Mme Torchon-à-la-main
Je n'aurais pas voulu d'un paillasson. Je ne me suis pas mariée pour continuer à prendre seule toutes les décisions.
La pensée du jour :
Je me moque de savoir que ce n'est pas moi qui porte la culotte. En règle générale, c'est plutôt reposant. Surtout que quand je dis non, c'est vraiment non, et qu'il n'y a pas à y revenir !
Votre dévouée suffragette,
Mme Torchon-à-la-main
vendredi 22 janvier 2010
Gestion d'autorité
Dans les toilettes publiques, la file d'attente est toujours côté femme !
Alors, mon homme, ça l'énerve et il me fait signe d'aller chez les messieurs.
Mais moi, je refuse et ça l'agace encore plus...
La pensée du jour :
Préférer envoyer son homme irrité boire un café en vous attendant que risquer de tomber sur un Manneken -Pis, en conversation avec son urinoir !
Votre rebelle,
Mme Torchon-à-la-main
Alors, mon homme, ça l'énerve et il me fait signe d'aller chez les messieurs.
Mais moi, je refuse et ça l'agace encore plus...
La pensée du jour :
Préférer envoyer son homme irrité boire un café en vous attendant que risquer de tomber sur un Manneken -Pis, en conversation avec son urinoir !
Votre rebelle,
Mme Torchon-à-la-main
mercredi 20 janvier 2010
Dialogue avec Napoléon, suite
Vous êtes raplapla ?
Prenez une bonne cuillerée de Dialogue avec Napoléon et avalez lentement.
Attention : ce médicament peut créer l'accoutumance.
Dans ce cas, veuillez consulter les sites suivants :
www.edilivre.com
la Fnac
Amazon
Bon rétablissement,
Croquette
Cinquième extrait :
S’agirait pas, mon Napoléon, que tout ce beau monde s’avise de décamper en raison de ma mauvaise haleine ou de ma calvitie naissante. Que deviendrions-nous ?
- Miaou.
De son coussin, sens en éveil, malgré l’éloignement et l’eau qui continuait de couler, le chat avait perçu l’acidité du ton. Sa réponse se voulait rassurante.
- D’après toi, me resterait les voisines, le boulanger, le boucher ?
Ce que tu peux être stupide, parfois, mon pauvre Napoléon. Tu sais pertinemment que nous n’avons plus de boucher depuis qu’il a été braqué pour trois saucisses et 150 euros et que le boulanger s’apprête à cesser toute activité, persuadé de subir prochainement sort identique. Quant aux voisines, t’en prends une pour assommer les autres. Tellement amoindries, qu’aucune ne parvient plus à me véhiculer. Heureusement qu’une ligne de bus dessert désormais le centre commercial. Tu pourrais te brosser, sinon, pour tes croquettes diet !
- Miaou, miaou, miaou…
Les miaulements avaient tourné à l’enthousiasme. Apparemment, l’animal ignorait la vexation.
- Ils sont là ? Merci de m’appeler. J’arrive. Approche, mon Napoléon. Ne sont-ils pas superbes ? Donne-moi ta tête. Que je te gratte exactement là où tu aimes. Sur le sommet du crâne. Entre les oreilles. Et inutile de te positionner les quatre fers en l’air, pattes écartées, pour me présenter ton superbe ventre couleur lion. Couleur d’une savane où je n’ai jamais été foutue, pardon. Capable de me rendre.
Très chère Laly, commencerais-je à parler comme vous ? Qu’est-ce que je vous sers ?
Prenez une bonne cuillerée de Dialogue avec Napoléon et avalez lentement.
Attention : ce médicament peut créer l'accoutumance.
Dans ce cas, veuillez consulter les sites suivants :
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Bon rétablissement,
Croquette
Cinquième extrait :
S’agirait pas, mon Napoléon, que tout ce beau monde s’avise de décamper en raison de ma mauvaise haleine ou de ma calvitie naissante. Que deviendrions-nous ?
- Miaou.
De son coussin, sens en éveil, malgré l’éloignement et l’eau qui continuait de couler, le chat avait perçu l’acidité du ton. Sa réponse se voulait rassurante.
- D’après toi, me resterait les voisines, le boulanger, le boucher ?
Ce que tu peux être stupide, parfois, mon pauvre Napoléon. Tu sais pertinemment que nous n’avons plus de boucher depuis qu’il a été braqué pour trois saucisses et 150 euros et que le boulanger s’apprête à cesser toute activité, persuadé de subir prochainement sort identique. Quant aux voisines, t’en prends une pour assommer les autres. Tellement amoindries, qu’aucune ne parvient plus à me véhiculer. Heureusement qu’une ligne de bus dessert désormais le centre commercial. Tu pourrais te brosser, sinon, pour tes croquettes diet !
- Miaou, miaou, miaou…
Les miaulements avaient tourné à l’enthousiasme. Apparemment, l’animal ignorait la vexation.
- Ils sont là ? Merci de m’appeler. J’arrive. Approche, mon Napoléon. Ne sont-ils pas superbes ? Donne-moi ta tête. Que je te gratte exactement là où tu aimes. Sur le sommet du crâne. Entre les oreilles. Et inutile de te positionner les quatre fers en l’air, pattes écartées, pour me présenter ton superbe ventre couleur lion. Couleur d’une savane où je n’ai jamais été foutue, pardon. Capable de me rendre.
Très chère Laly, commencerais-je à parler comme vous ? Qu’est-ce que je vous sers ?
dimanche 17 janvier 2010
GPS, vous hésitez ?
Ce début de semaine, on a dû filer sur Montpellier. Distance : 187 km. Bifurcations d'autoroute à ne pas louper pour éviter de prolonger les réjouissances ! Adresse à trouver près du centre.
On est partis à trois : mon mari, votre ci-devant Mme Torchon-à-la-main et Tom Tom.
6 heures du matin, -5 au thermomètre de titine.
No stress ! Pas de pluie givrante pour nous envoyer dans le décor. Tom Tom pour me laisser somnoler en paix.
Avant, à chaque entrée ou sortie d'autoroute, c'était l'enfer !
Une prolifération de panneaux où, par un fait exprès, toutes les destinations apparaissaient, sauf la nôtre. Sans compter les dizaines de bolides qui nous collaient au train, me refusant le droit à l'hésitation. Me lançant droit dans l'erreur !
Maintenant, toujours les mêmes infâmes panneaux et bolides, mais avec la voix assurée de Tom Tom...
Du coup, au retour, on s'est offert un détour par IKEA. Pile poil sur le parking ! Le nirvana.
La pensée du jour :
Depuis qu'on embarque aussi Tom Tom, je ne consulte plus jamais la carte et l'atmosphère, elle s'est vachement allégée, dans l'habitacle. Alors, Tom Tom, c'est devenu mon meilleur copain.
Pensez-y, les filles !
Votre Mme Torchon-à-la-main et son fidèle Tom Tom,
Copilote de la paix des ménages
On est partis à trois : mon mari, votre ci-devant Mme Torchon-à-la-main et Tom Tom.
6 heures du matin, -5 au thermomètre de titine.
No stress ! Pas de pluie givrante pour nous envoyer dans le décor. Tom Tom pour me laisser somnoler en paix.
Avant, à chaque entrée ou sortie d'autoroute, c'était l'enfer !
Une prolifération de panneaux où, par un fait exprès, toutes les destinations apparaissaient, sauf la nôtre. Sans compter les dizaines de bolides qui nous collaient au train, me refusant le droit à l'hésitation. Me lançant droit dans l'erreur !
Maintenant, toujours les mêmes infâmes panneaux et bolides, mais avec la voix assurée de Tom Tom...
Du coup, au retour, on s'est offert un détour par IKEA. Pile poil sur le parking ! Le nirvana.
La pensée du jour :
Depuis qu'on embarque aussi Tom Tom, je ne consulte plus jamais la carte et l'atmosphère, elle s'est vachement allégée, dans l'habitacle. Alors, Tom Tom, c'est devenu mon meilleur copain.
Pensez-y, les filles !
Votre Mme Torchon-à-la-main et son fidèle Tom Tom,
Copilote de la paix des ménages
samedi 16 janvier 2010
Illogisme médical
A la télé et à la radio, ils nous bassinent le saladier pour qu'on consulte. Hérédité d'un ou des deux parents, cholestérol, obésité, hypertension, anévrisme, cœur, artères et j'en passe, tout est bon.
Au point qu'on se demande par quel miracle on est arrivé jusque-là et si on va pas casser sa pipe avant le soir !
Mais si on a le malheur de filer chez son médecin pour ce bouton qui pourrait virer au mélanome ou demander une échographie de l'aorte, il nous regarde comme si on était un échappé de l'asile psychiatrique le plus proche...
La pensée du jour :
Il vaut mieux garder ses bobos pour soi en priant sa bonne étoile de nous conserver en vie que passer pour un plouc. Même s'il faut continuer d'encombrer les urgences en cas d'alerte.
Le vrai plan pourri !
Pensez à tenir à jour vos carnets de vaccination !
Sanitairement vôtre,
Mme Torchon-à-la-main
Au point qu'on se demande par quel miracle on est arrivé jusque-là et si on va pas casser sa pipe avant le soir !
Mais si on a le malheur de filer chez son médecin pour ce bouton qui pourrait virer au mélanome ou demander une échographie de l'aorte, il nous regarde comme si on était un échappé de l'asile psychiatrique le plus proche...
La pensée du jour :
Il vaut mieux garder ses bobos pour soi en priant sa bonne étoile de nous conserver en vie que passer pour un plouc. Même s'il faut continuer d'encombrer les urgences en cas d'alerte.
Le vrai plan pourri !
Pensez à tenir à jour vos carnets de vaccination !
Sanitairement vôtre,
Mme Torchon-à-la-main
vendredi 15 janvier 2010
Dialogue avec Napoléon, suite
Toujours très frais, malgré le soleil revenu. Pendant que les oiseaux s'émoustillent à retrouver leur becquetance, pourquoi ne pas vous plonger dans mon quatrième extrait ?
Il vous gardera l'humeur au beau fixe.
Toujours hors grippe H1N1,
votre Mlle Poirier
quatrième extrait :
Au lieu de lui offrir les concurrents de « Secret Story » qu’elle et Napoléon attendaient si impatiemment, le poste déroulait insolemment des spots, riches de rêves impossibles pour une modeste pensionnée.
Avec Tena, championne de la lutte antifuites et des odeurs nauséabondes, c’en était trop ! Proprement honteux ! Comme si toutes les femmes perdaient du bas, en puaient et n’osaient rire sans pisser au culotte ! Tandis que l’appareil génital masculin continuait à sentir la rose après jogging, séance de muscu, longue journée de bureau ou autres activités…
« So obvious, » que même l’abstinente vieille fille qu’elle était devenue le savait pertinemment et en retrouvait son anglais. D’autant plus que le silence sur le pendant masculin des infâmes serviettes l’accréditait. A croire que les hommes régnaient aussi sur le domaine de la publicité. Encore une injustice de non répertoriée.
D’énervement, Mlle Poirier repoussait brutalement Napoléon. Se réfugiait dans la salle de bains pour s’y calmer en se lavant les mains. Impossible d’en supporter davantage.
Le sinistre et désormais confirmé constat que lui renvoyait depuis peu son miroir n’était pas propre à lui améliorer l’humeur. Si elle ignorait les problèmes urinaires, elle souffrait par contre d’un réel début d’alopécie. Que ses ruses les plus élaborées dissimulaient de moins en moins. Il lui faudrait se décider à consulter, puisqu’il serait malséant de porter chapeau chez elle pour recevoir ses invités télévisuels. N’était pas Mme de Fontenay qui veut !
Elle en profiterait pour effectuer un détour chez le dermatologue. Non, l’estomatologue. A moins que ce ne soit le stomatologue. Peu importait, d’ailleurs. Seul comptait le remède contre ses aigreurs d’estomac.
Il vous gardera l'humeur au beau fixe.
Toujours hors grippe H1N1,
votre Mlle Poirier
quatrième extrait :
Au lieu de lui offrir les concurrents de « Secret Story » qu’elle et Napoléon attendaient si impatiemment, le poste déroulait insolemment des spots, riches de rêves impossibles pour une modeste pensionnée.
Avec Tena, championne de la lutte antifuites et des odeurs nauséabondes, c’en était trop ! Proprement honteux ! Comme si toutes les femmes perdaient du bas, en puaient et n’osaient rire sans pisser au culotte ! Tandis que l’appareil génital masculin continuait à sentir la rose après jogging, séance de muscu, longue journée de bureau ou autres activités…
« So obvious, » que même l’abstinente vieille fille qu’elle était devenue le savait pertinemment et en retrouvait son anglais. D’autant plus que le silence sur le pendant masculin des infâmes serviettes l’accréditait. A croire que les hommes régnaient aussi sur le domaine de la publicité. Encore une injustice de non répertoriée.
D’énervement, Mlle Poirier repoussait brutalement Napoléon. Se réfugiait dans la salle de bains pour s’y calmer en se lavant les mains. Impossible d’en supporter davantage.
Le sinistre et désormais confirmé constat que lui renvoyait depuis peu son miroir n’était pas propre à lui améliorer l’humeur. Si elle ignorait les problèmes urinaires, elle souffrait par contre d’un réel début d’alopécie. Que ses ruses les plus élaborées dissimulaient de moins en moins. Il lui faudrait se décider à consulter, puisqu’il serait malséant de porter chapeau chez elle pour recevoir ses invités télévisuels. N’était pas Mme de Fontenay qui veut !
Elle en profiterait pour effectuer un détour chez le dermatologue. Non, l’estomatologue. A moins que ce ne soit le stomatologue. Peu importait, d’ailleurs. Seul comptait le remède contre ses aigreurs d’estomac.
lundi 11 janvier 2010
Sale temps pour les frileux
Soleil radieux et froid de canard !
40 degrés l'été, 0 la nuit cet hiver, à en faire bouffer leurs tongs aux touristes.
La pensée du jour :
Après l'achat de notre couette en plumes d'oie véritables, réclamer au Gouvernement un bonus écologique pour suppression du chauffage dans notre chambre à coucher.
Glacialement vôtre,
Mme Torchon-à-la-main
40 degrés l'été, 0 la nuit cet hiver, à en faire bouffer leurs tongs aux touristes.
La pensée du jour :
Après l'achat de notre couette en plumes d'oie véritables, réclamer au Gouvernement un bonus écologique pour suppression du chauffage dans notre chambre à coucher.
Glacialement vôtre,
Mme Torchon-à-la-main
vendredi 8 janvier 2010
Dégel
Le dégel est amorcé. C'est râpé pour le traîneau du Père Noël !
Du vaste désert blanc, ne subsistent plus que des toits poudrés au sucre glace et des empreintes de yeti dans notre jardin : les Crocs de mon mari.
La pensée du jour :
Quand il pleut, les humains font la tronche et les crapauds se tapent sur le ventre. Mais quand il se met à neiger, ce sont les carrossiers qui se tapent sur le bide.
Moralité : on finit tous par avoir sa part du gâteau !
N'oubliez pas vos gants et vos mitaines,
Votre attentionnée Mme Torchon-à-la-main
Du vaste désert blanc, ne subsistent plus que des toits poudrés au sucre glace et des empreintes de yeti dans notre jardin : les Crocs de mon mari.
La pensée du jour :
Quand il pleut, les humains font la tronche et les crapauds se tapent sur le ventre. Mais quand il se met à neiger, ce sont les carrossiers qui se tapent sur le bide.
Moralité : on finit tous par avoir sa part du gâteau !
N'oubliez pas vos gants et vos mitaines,
Votre attentionnée Mme Torchon-à-la-main
jeudi 7 janvier 2010
Neige dans la région de Mme Torchon-à-la-main
Il neige depuis midi sur les oranges et les palmiers. La région s'assoupit sous un linceul immaculé. Dépourvues de chaînes, la majorité des voitures restent au garage, merveilleux silence de grand désert blanc. On s'attend presque à voir passer le Père Noël et ses rennes.
Profitons-en pour nous balader puis nous pelotonner autour du poêle. De tels paysages, ici, sont éphémères ! Ce soir, ce sera tarte aux pommes et petit écran, si le courant continue à passer...
La pensée du jour :
C’est toujours mon homme qui manie la télécommande de la télé.
Depuis que je sais que chez Jean Dujardin et Alexandra, c’est du kif, j’éprouve pas de rancœur. Pensez, une jeune femme si évoluée, actrice, belle et tout et tout…
Profitons-en pour nous balader puis nous pelotonner autour du poêle. De tels paysages, ici, sont éphémères ! Ce soir, ce sera tarte aux pommes et petit écran, si le courant continue à passer...
La pensée du jour :
C’est toujours mon homme qui manie la télécommande de la télé.
Depuis que je sais que chez Jean Dujardin et Alexandra, c’est du kif, j’éprouve pas de rancœur. Pensez, une jeune femme si évoluée, actrice, belle et tout et tout…
lundi 4 janvier 2010
Dialogue avec Napoléon, suite
Vous pensiez que je vous avais oubliés ? Pas du tout ! Avec Napoléon, on avait trop abusé du foie gras.
Mille excuses, mais faut ce qui faut...
Mlle Poirier,
Toujours bon pied, bon oeil, ne vous déplaise
3ème extrait
Surtout que j’ai été une parfaite secrétaire sachant taper de ses dix doigts. A l’inverse de ces « hackers » aussi redoutables qu’efficaces et à tête de voyous, que l’on aurait peur de croiser la nuit dans une ruelle déserte. Ce qui ne constitue qu’une injustice supplémentaire.
N’est-ce pas, mon Napoléon ? Et ferme les yeux, pour me prouver ton indéfectible accord.
A cette évocation, la bouche de Mlle Poirier se fendait mielleusement sur une ancienne hypocrisie professionnelle. Découvrant des dents légèrement jaunâtres, mais d’origine certifiée. Tandis que son regard se rétrécissait, devenant pareil à celui de son chat qui gardait la pose, soucieux, par son obéissance, de recevoir son lot de caresses.
Extérieurement bien sous tous rapports et imperturbablement gentille, la vieille demoiselle avait très jeune opté, à défaut d’autre recours, pour le semage d’une zizanie toujours problématique à lui imputer malgré de fortes présomptions, pour en savourer voluptueusement les dégâts et en tirer réparation.
Une mamy « hacker, » voilà qui changerait agréablement et vengerait tous ses frères et sœurs sur le retour, de trop de couleuvres avalées journellement avec le sourire pour ne pas finir dare-dare à l’hospice !
A méditer, puis à étudier. Car certainement très utile pour lutter contre la maladie d’Halzeimer, dont elle croyait subir les prémices depuis qu’elle ne pouvait plus allumer sa télé sans entendre le pourcentage de ses victimes, et par conséquent, son peu d’espoir d’y échapper.
Mille excuses, mais faut ce qui faut...
Mlle Poirier,
Toujours bon pied, bon oeil, ne vous déplaise
3ème extrait
Surtout que j’ai été une parfaite secrétaire sachant taper de ses dix doigts. A l’inverse de ces « hackers » aussi redoutables qu’efficaces et à tête de voyous, que l’on aurait peur de croiser la nuit dans une ruelle déserte. Ce qui ne constitue qu’une injustice supplémentaire.
N’est-ce pas, mon Napoléon ? Et ferme les yeux, pour me prouver ton indéfectible accord.
A cette évocation, la bouche de Mlle Poirier se fendait mielleusement sur une ancienne hypocrisie professionnelle. Découvrant des dents légèrement jaunâtres, mais d’origine certifiée. Tandis que son regard se rétrécissait, devenant pareil à celui de son chat qui gardait la pose, soucieux, par son obéissance, de recevoir son lot de caresses.
Extérieurement bien sous tous rapports et imperturbablement gentille, la vieille demoiselle avait très jeune opté, à défaut d’autre recours, pour le semage d’une zizanie toujours problématique à lui imputer malgré de fortes présomptions, pour en savourer voluptueusement les dégâts et en tirer réparation.
Une mamy « hacker, » voilà qui changerait agréablement et vengerait tous ses frères et sœurs sur le retour, de trop de couleuvres avalées journellement avec le sourire pour ne pas finir dare-dare à l’hospice !
A méditer, puis à étudier. Car certainement très utile pour lutter contre la maladie d’Halzeimer, dont elle croyait subir les prémices depuis qu’elle ne pouvait plus allumer sa télé sans entendre le pourcentage de ses victimes, et par conséquent, son peu d’espoir d’y échapper.
samedi 2 janvier 2010
la première pensée 2010 de Mme Torchon-à-la-main
L'avantage, quand on a pas fêté, c'est qu'on se réveille sans gueule de bois, fine prête à épousseter et lustrer !!!
Après avoir passé le torchon sur les photos des enfants et consorts dans leurs cadres dorés ou argentés, je tenais mon voeu et mes bonnes résolutions. Et tant pis si elles passent à la trappe. N'engagent-elles pas que moi et ne sont-elles pas renouvelables ?
Pour inaugurer l'an neuf, j'accepte, bien que cela soit fortement déconseillé pour des raisons plus qu'évidentes, de vous en confier une :
Refuser de penser que ce qui a été nettoyé aujourd'hui sera à recommencer demain.
Courage, les filles ! Ne sommes-nous pas plus nombreuses que les hommes ?
Délicieuse journée et surtout, n'abusez pas du ménage !
Avec les compliments de Mme Torchon-à-la-main
Après avoir passé le torchon sur les photos des enfants et consorts dans leurs cadres dorés ou argentés, je tenais mon voeu et mes bonnes résolutions. Et tant pis si elles passent à la trappe. N'engagent-elles pas que moi et ne sont-elles pas renouvelables ?
Pour inaugurer l'an neuf, j'accepte, bien que cela soit fortement déconseillé pour des raisons plus qu'évidentes, de vous en confier une :
Refuser de penser que ce qui a été nettoyé aujourd'hui sera à recommencer demain.
Courage, les filles ! Ne sommes-nous pas plus nombreuses que les hommes ?
Délicieuse journée et surtout, n'abusez pas du ménage !
Avec les compliments de Mme Torchon-à-la-main
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