Vous pensiez que je vous avais oubliés ? Pas du tout ! Avec Napoléon, on avait trop abusé du foie gras.
Mille excuses, mais faut ce qui faut...
Mlle Poirier,
Toujours bon pied, bon oeil, ne vous déplaise
3ème extrait
Surtout que j’ai été une parfaite secrétaire sachant taper de ses dix doigts. A l’inverse de ces « hackers » aussi redoutables qu’efficaces et à tête de voyous, que l’on aurait peur de croiser la nuit dans une ruelle déserte. Ce qui ne constitue qu’une injustice supplémentaire.
N’est-ce pas, mon Napoléon ? Et ferme les yeux, pour me prouver ton indéfectible accord.
A cette évocation, la bouche de Mlle Poirier se fendait mielleusement sur une ancienne hypocrisie professionnelle. Découvrant des dents légèrement jaunâtres, mais d’origine certifiée. Tandis que son regard se rétrécissait, devenant pareil à celui de son chat qui gardait la pose, soucieux, par son obéissance, de recevoir son lot de caresses.
Extérieurement bien sous tous rapports et imperturbablement gentille, la vieille demoiselle avait très jeune opté, à défaut d’autre recours, pour le semage d’une zizanie toujours problématique à lui imputer malgré de fortes présomptions, pour en savourer voluptueusement les dégâts et en tirer réparation.
Une mamy « hacker, » voilà qui changerait agréablement et vengerait tous ses frères et sœurs sur le retour, de trop de couleuvres avalées journellement avec le sourire pour ne pas finir dare-dare à l’hospice !
A méditer, puis à étudier. Car certainement très utile pour lutter contre la maladie d’Halzeimer, dont elle croyait subir les prémices depuis qu’elle ne pouvait plus allumer sa télé sans entendre le pourcentage de ses victimes, et par conséquent, son peu d’espoir d’y échapper.
lundi 4 janvier 2010
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